Nouvelle parution au 31 mars 2022
Le variant ukrainien
Collection : Contre le Courant n°2
Le titre de la collection étant Contre le Courant, je me dois de préciser contre quoi. Contre le Courant de communication actuel, axé sur un double pôle : l’apensée unique officielle, langue de bois, le délire complotiste de ceux disent le contraire qui est en fait la même chose : n’importe quoi !
Le fondement de leur discours commun est la PEUR. Les États gouvernent par la Terreur, qu’elle soit politique, économique, écologique et climatique, sanitaire.
La pression exercée sur la population depuis 2020 est particulièrement intense :
D’abord la transformation
d’une épidémie réelle mais très
limitée (avec une surmortalité de 0,1% par an) en une pandémie qu’on a osé comparer à la grippe espagnole (entre 10 et 20
fois plus létale) et même à la peste noire (au moins 300 fois plus létale). Les
humains ont donc dû prendre leurs distances les uns des autres, vivre masqués
et ne plus fréquenter les lieux collectifs. Vivre dans la peur.
Maintenant la transformation d’un conflit localisé en une quasi-guerre mondiale nucléaire, par la diabolisation d’un homme et jusqu’au rejet hors de l’Humanité de tout un peuple et de sa culture. Vivre dans la haine. Le conflit ukrainien est dans la droite ligne de la pseudo-pandémie, et ceci explique le titre du présent essai :
Le Variant ukrainien.
Pour quoi suis-je donc ? Pour la formation d’une Pensée prenant la place du management et se centrant sur le développement des humains. Pour la renaissance d’une Autorité et la reconnaissance de la responsabilité centrale de l’hypertrophie du Pouvoir, les États, dans l’abrutissement des humains. Pour le retour de la Sagesse, centrée sur le Langage et une lutte sans merci contre la Propagande (officielle ou complotiste) centrée sur la communication et les images. Pour la reconstitution de la collectivité humaine.
Je ne puis que vous encourager dans votre vie quotidienne à renoncer aux commentaires sur l’actualité médiatique pour promouvoir l’échange de Paroles vraies.
Cet Essai doit malheureusement passer par un tel commentaire pour montrer à quel point cette crise est, dans l’Histoire moderne, centrée sur les États, d’une banalité égale à celle de la pseudo-pandémie.
L’auteur exprime toute sa solidarité avec les victimes de ces deux crises mais pense que c’est leur faire déshonneur que d’appuyer sur leur malheur l’idée du parcours apocalyptique de l’humanité, hors l’action d’un Pouvoir absolu passant par l’abrutissement des humains.
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